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Anthony Pla : « Quand c’est l’Euro, on ne dit rien. Quand c’est l’Afrique, on se focalise sur le négatif »

« Demi-finale de la Coupe de l’UEFA en avril 1998, l’Inter se rendait au Spartak Moscou. La pelouse? Il n’y en avait pas… Ça n’a pas empêché Ronaldo (Brésilien) de sortir un match énorme, légendaire, et je vous invite à regarder les vidéos. A l’époque, la majorité des pelouses en Europe étaient des billards. Pourtant, El Phenomeno ne s’est pas plaint. Pas un mot, seulement ses pieds qui ont parlé … le reste appartient à l’histoire et l’Inter s’est qualifié pour la finale. Des exemples contemporains on en a aussi. Allez voir Elland Road, le terrain de Leeds United en plein hiver, celle du FC Nantes par exemple et vous comprendrez. Durant l’Euro 2016, les pelouses de France voyaient l’herbe se faire rare. Le Vélodrome était un désastre. Le stade Pierre-Mauroy de Lille voyait tous les joueurs lutter pour ne pas glisser ou pour maintenir le ballon bien à terre. Cherchez et vous verrez !Partout, dans chaque compétition, il y a des défauts et rien ne peut être parfait. L’Euro 2016 est un parfait exemple. Il y aura toujours quelque chose à dire. Quand c’est l’Euro, on ne dit presque rien. Quand c’est le foot africain, on se focalise que sur le négatif. Il y a un défi avec les stades en Afrique, c’est sûr, vu le nombre de nations qui n’en ont AUCUN qui est homologué. Mais n’allez pas croire que toutes les pelouses ailleurs sont de qualité exceptionnelle », écrit-il.

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