Avant leur combat au sommet pour la ceinture poids lourds de l’UFC, Francis Ngannou et Ciryl Gane s’étaient croisés, début novembre, sans échanger un mot. Cette scène avait fait beaucoup parler. Dans un entretien, le combattant camerounais est revenu sur cette entrevue. Et explique qu’il n’a aucune animosité à l’encontre du Vendéen.
Avant leur combat au sommet pour la ceinture poids lourds de l’UFC, Francis Ngannou et Ciryl Gane s’étaient croisés, début novembre, sans échanger un mot. Cette scène avait fait beaucoup parler. Dans un entretien, le combattant camerounais est revenu sur cette entrevue. Et explique qu’il n’a aucune animosité à l’encontre du Vendéen.
Dans une interview accordée à Daniel Cormier, Francis Ngannou est revenu sur cette entrevue. Le détenteur du titre explique qu’il n’a aucun problème avec Ciryl Gane. Mais qu’il est en froid avec son entraîneur, Fernand Lopez. Ce dernier est l’ancien coach de Ngannou. « Me rapprocher de lui, ça aurait été lui donner une opportunité (à Lopez) de me dire quelque chose en public, a-t-il livré. […] Nous ne sommes pas amis, il m’attaque tout le temps, je ne voulais pas lui offrir cela. »
« Ciryl Gane est un mec sympa »
Francis Ngannou a tenu à préciser qu’il n’avait aucune animosité avec Ciryl Gane et que cela n’était pas une manière de lancer son combat, très attendu, face au Vendéen. « S’il n’y avait eu que lui, je lui aurais dit bonjour. S’il était seul, je lui dirais : « Salut, quoi de neuf ? » […] Je n’ai même pas vu Nassourdine (Imavov) à côté. Je n’ai aucun problème avec Nassourdine, je n’ai aucun problème avec Ciryl. Mais je connais le gars qui était à côté de lui et cela aurait été gênant. Si je leur avais dit bonjour sans dire bonjour à Fernand, cela aurait pu leur poser un problème à eux aussi. C’était le genre de situation embarrassante où tu te dis : « Ok, comment je peux faire pour me sortir de là ? ».
Dans cet entretien, Francis Ngannou a aussi évoqué sa relation avec Ciryl Gane. Les deux hommes se sont déjà croisés dans le passé. Ils avaient même mis les gants ensemble, début 2019. « J’étais à Paris pendant un mois et pendant ce mois, il était à la salle. Il s’entraînait à l’époque pour combattre au TKO, une organisation canadienne, resitue-t-il. C’est là que nous nous sommes entraînés ensemble. Mais en tout, je pense qu’on a dû s’entraîner moins de dix fois ensemble. Oui, on s’est croisé à la salle, mais rapidement. Je lui ai parlé comme un mec que tu croises à la salle. C’est un mec sympa. »
